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Se branler au bureau : fantasme ou vraie pulsion ?

Qui n’a jamais eu envie de se la secouer entre deux réunions ?

Open-space, stress, costard bien taillé et collègues trop sexy… Il suffit d’un regard, d’un mail un peu chaud, ou d’une pause café mal placée pour que le cerveau parte en couille. La branlette au boulot ? Fantasme récurrent. Mais pour certains, c’est plus qu’un trip mental. C’est une vraie pulsion. Et spoiler alert : certains passent à l’acte.

Avant d’aller plus loin, autant bien faire les choses : Comment bien se masturber ? Le guide complet est ici.
(Que ce soit au bureau ou ailleurs, autant le faire comme un pro.)

Pourquoi ce fantasme excite autant ?

Parce que c’est interdit. Et tout ce qui est interdit donne envie. Parce que se faire gauler, ça fait monter l’adrénaline (et pas que). Parce que les tenues de bureau, c’est clairement un piège : tailleur bien moulé, chemisier entrouvert, cravate bien serrée… vous voyez le tableau.

Et puis y’a le pouvoir. La hiérarchie. Dominant, dominé… Le fantasme du boss sexy ou de la secrétaire un peu trop dévouée, ça fait partie du décor.

Ajoutez à ça le stress, l’ennui, la pause de 10h… Et bim : vous vous retrouvez à reluquer votre collègue comme si c’était une actrice porno.

“Je me suis branlé dans les chiottes en pensant à ma boss. C’était plus fort que moi.”

— Témoignage 100% vrai d’un mec qui n’avait visiblement pas de réunion urgente.

Qui le fait vraiment ? (et où ?)

Spoiler : plus de monde que vous ne l’imaginez.

Selon des sondages discrets (et un peu gênants), 1 mec sur 3 s’est déjà masturbé au boulot.

Oui, oui. Entre deux mails ou pendant la pause café.

Et les lieux ? Y’a des classiques. – Les toilettes du fond, porte qui ferme bien. – La voiture, planquée au sous-sol. – La salle de repos, quand elle porte mal son nom. – La cabine d’essayage, pour les vendeurs trop… tendus.

Mention spéciale aux mecs en télétravail : là, c’est open bar. Personne ne vous voit. Personne ne vous juge. À part votre historique de navigation.

Bref, si vous pensiez être seul à bander au bureau… rassurez-vous (ou pas).

Les risques (et les bonnes pratiques si vous osez)

On va pas se mentir : se faire choper en pleine branlette, ça pique. Humiliation directe. Licenciement probable. Et avec un peu de malchance… tribunal au menu.

Ensuite, y’a l’hygiène. Sérieux, gardez votre jus loin du lavabo. Un peu de dignité. Et des mouchoirs.

Autre point crucial :

  • Pas de collègues dans l’équation.
  • Même pas dans vos fantasmes tordus si ça devient chelou. Pas de regard insistant, pas de “je l’ai fait pour elle sans qu’elle sache” = NON. Maintenant, pour les têtes brûlées qui veulent quand même tenter…

    Y’a le “kit discret” : – Short ample – Casque antibruit – Écran en veille – Timing parfait

    Mais on vous aura prévenu : c’est risqué, c’est crade, c’est chaud. Donc si vous tenez à votre taf (et à votre dignité), gardez ça pour la maison.

    Ce que ça dit de toi (et pourquoi c’est pas si chelou)

    Vous avez besoin de souffler un coup entre deux réunions ? Rien de plus normal. Votre cerveau surchauffe, votre queue aussi ? Bienvenue au club.

    Fantasmer sur une branlette au bureau, c’est pas un crime. Ce qui compte, c’est ce que vous en faites. Vous passez à l’acte ? Là, c’est à vos risques et périls. Mais non, ça ne fait pas de vous un psychopathe.

    Le vrai problème, ce n’est pas la branlette. C’est l’endroit. Un open space, ce n’est pas un salon privé.

    Alors détendez-vous (dans un endroit plus safe), et surtout, arrêtez de culpabiliser d’avoir une libido active. Vous êtes juste un humain avec des envies… et parfois un mauvais timing.

    En résumé : pulsion normale, lieu discutable

    Se masturber au bureau, c’est un peu comme péter en réunion : vous en avez envie, mais ça craint. Avoir des pulsions, c’est humain. Rien de honteux là-dedans. Mais entre fantasme et réalité, il y a une frontière. Et au taf, elle est bien gardée. Si vous avez besoin de craquer, faites-le bien. Faites-le ailleurs. Et surtout, faites-le comme un king.

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